La fin n'est pas le début de Quelque chose ?

J'en ai aussi ... je vais les mettre dès qu'elles seront au propre.

*A hate aussi de voir ca*

CElle-ci est plutôt bien avancée, il faut que je fasse la mise en page et la relecture et je la mets sur le site !!!!

mais peut-être en spoiler, je verrais.

Enfin .... je vais la mettre !

J'ai écrit cette fic à la fin de la diffusion américaine de la saison 3. A l'époque, Rose n'existait pas.

NB : les paroles sont en italiques !
les pensées entre **
la narration reste en normal !

Derek ne pouvait pas partir de cette église où Meredith l’avait quitté. Et addie ne pouvait pas non plus quitter cette ville, elle avait quand même vécu de nombreuses choses, ici. Et partir voulait dire tirer un trait sur son ancienne vie définitivement.

Au bout d’un moment, elle décida de se lever quand même, cela faisait bien une heure ou deux qu’elle réfléchissait. Elle se leva et regarda devant elle, sans trop faire attention, et elle vit derek. Elle se secoua la tête et regarda à nouveau. Il était bien là, debout, raide comme un piquet. Il n’y avait pas de larmes sur son visage, mais celui-ci était déformé par la douleur.

Elle s’avança vers lui. Elle le regarda. Elle attendait peut-être qu’il lui parle. Mais non, enfin … Il se mit à pleurer. Elle le prit dans ses bras et essaya de le consoler, mais son chagrin était trop fort.

Après dix minutes, elle commença à lui parler.

Ad : tu es si dévoué que cela comme témoin ou il y a quelque chose entre toi et Meredith ?
Elle t’a regardé. Un regard remplie de tristesse.

Elle se disait qu’elle n’aurait peut-être pas du dire cela. Mais bon, maintenant c’était fait.

De : non, je ne pleure pas à cause du mariage de Burke, quoique …

Addysson aurait voulu intervenir mais bon, elle voulait le laisser s’exprimer.

De : je suis sur que … Je ne sais plus quoi penser …
Ad : donc c’est bien de Meredith et de ta relation avec elle dont on parle.

Derek rigola, enfin un rire nerveux.

De : je suis en train de parler de mes déboires amoureux avec toi, alors que je t’ai … Bref, alors que tu devrais être heureuse, enfin je ne sais pas… Je ne sais plus !

Addie qui le tenait dans ses bras, elle lui souriait.

Ad : non, je ne suis pas heureuse. Je ne suis pas heureuse de te voir triste, complètement démoli. Je ne suis pas sadique, moi, au point d’être heureuse quand tu vas mal.
Et pour ta gouverne, mon cher derek, je mettais habituée à Meredith, elle était sympa et surtout elle te rendait heureux.
Allez, racontes-moi tout, euh, reprends du début parce que je me suis occupée un peu que de moi et je n’ai pas trop suivi.

Derek lui sourit, elle avait le sourire, presque tout le temps, elle, elle avait le sourire. Il aimait son regard, un regard presque amoureux, il se sentait mieux là, avec elle. Elle avait un regard si gentil, si compatissant. Un regard d’une meilleure amie sur lui. Ce n’était plus sa femme, il n’y avait plus de sentiments amoureux entre eux, mais juste des souvenirs.

De : je …. Je ne sais plus, c’est tellement complexe. Tu veux que je remonte jusqu’où ?
Ad : disons, le moment après que tu l’aies sauvé de la noyade.
De : eh bien, c’est assez simple, elle s’est réveillée et j’étais soulagé de la voir, là, vivante.
Mais cette euphorie est vite passée et j’ai commencé à avoir peur, je me demandais pourquoi elle avait fait ce geste. Je me demandais si je pouvais respirer pour elle, vivre pour elle. Je ne trouvais pas de réponse à mes questions. Malheureusement, elle avait trouvé des réponses à siennes et m’aimait de plus en plus.
Et puis, sa mère est morte. Elle ne voulait pas l’avouer, mais cela l’avait marqué, elle avait perdu sa mère. Je voulais être présent pour elle, je voulais être là au cas où, juste derrière elle, pour la rattraper quand elle tomberait.
Elle s’en est remit assez vite et puis elle a fait connaissance de Susan, sa belle mère. Le dialogue avec son père n’était pas encore entamé. Sa belle mère et moi, nous nous efforcions d’être là.
De mon coté, le chef m’avait parlé, il m’avait mis en garde sur le poste de chef et ses conséquences, me disant que ce poste allait bouffer ma vie personnelle et comme il ne voulait pas que Meredith souffre comme adèle. Alors il ne voulait pas me donner ce poste donc je me suis mis à douter. Serais-je prêt à sacrifier ma carrière pour Meredith, pour son amour ?
J’ai mis du temps à le comprendre, que rien ne valait son amour. Entre temps, Meredith allait mieux, même vraiment mieux, elle faisait son possible pour que je ne m’inquiète pas pour elle, me disant ce qu’elle faisait, comment elle allait. Une copine « GPS » en quelque sorte. Moi, je n’avais toujours pas résolu mes problèmes. Quand j’ai trouvé ses réponses, sa belle-mère est morte, et son père l’a trop mal vécu et a anéanti tous les efforts qu’elle avait fait pour discuter avec lui.
Elle n’a pas voulu de mon aide, alors qu’elle a accepté celle de ses amis. Encore une fois, on avait mis une distance entre nous. Je lui en voulais de cet ième abandon. Moi, elle m’abandonnait alors que ses amis non !
Eux, ont la bonne place. La meilleure. Christina pouvait me virer du lit, izzie rentrait dans la chambre comme ça sans prévenir, même en plein câlin. La chambre de Meredith ne m’est pas réservée. Ses amis pouvaient y demeurer.

Addysson l’écoutait attentivement, l’histoire n’était pas simple à suivre. Mais elle devait le faire pour son ami. Derek, un ami, mais pas un simple ami, son meilleur ami, son ex mari, un homme qu’elle connaissait par cœur.

De : et puis, elle est revenue vers moi, l’euphorie du mariage de christina et Burke devait l’avoir touchée parce qu’elle était redevenue heureuse. Radieuse et rayonnante, comme elle disait.
Mais c’est moi qui étais devenu Dark and twisty. Je l’ai à moitié envoyé chier quand elle est venue me voir pour s’excuser de son comportement. Déjà quand elle a voulu se rapprocher de moi. Je lui ai dit que j’avais une opération urgente, cela ne l’a pas tellement découragé, alors elle a continué disant que j’étais témoin et elle, dame d’honneur. Bref, la joie et les petits oiseaux. Et moi, je lui ai répondu que j’avais rencontré une fille, la veille.

Addysson fut horrifiée. Elle fit des grands yeux de merlan frit.

Ad : quoi ?

Elle lui donna une baffe. Enfin, elle le fit reculer de ses bras et lui donna.

Ad : je suis désolée, mais tu le méritais. Pour une fois, qu’elle était heureuse, tu lui as dit cela.
De : oui, je n’allais pas lui mentir.
Ad : bien sur … Mais c’est complètement idiot.
De : bon, c’est fini ?
Ad : désolée !

Derek reprit son histoire. Il était un peu stressé, c’était la fin de l’histoire, on approchait au but.

De : donc elle l’a un peu mal prit.
Ad : tu m’étonnes !
De : arrêtes de m’interrompre.

Il lui avait dit cela avec un petit sourire moqueur, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas sourit.

De : donc …
Peut-être que j’ai été méchant sur le coup, parce que je lui ai dit comme ça, sans anesthésie. (il sourit à cette allusion à une de leur discussion) je lui ai dit que j’avais rencontrée une fille, qu’elle était belle et qu’elle me plaisait, mais que je n’avais rien fait avec elle. Elle m’a demandé si elle devait s’inquiéter. Je lui ai répondu qu’elle ne devait pas s’inquiéter qu’une fille me drague, sous entendant que je ne la tromperais pas, mais qu’elle devait s’inquiéter que ce soit le plus important évènement de ma semaine. Sous entendant cette fois qu’elle ne s’est pas montrée très amoureuse cette semaine. Enfin, c’était débile et rancunier de ma part, parce qu’elle venait de s’en excuser. Mais à ma décharge, je ne voulais pas qu’elle ne soit pas au courant. On avait conclu au début de notre nouvelle relation, qu’on aurait pas de secret l’un pour l’autre et, je ne voulais pas qu’elle l’apprenne par quelqu’un d’autre, surtout que je n’avais pas dit clairement non à cette fille.

Addysson était sous le choc de cette révélation. Elle ne savait pas quoi dire, ou faire.

Ad : attends, laisses-moi assimiler l’histoire.

Elle prit quelques secondes pour comprendre l’histoire et surtout pourquoi derek avait fait cela.

Ad : un acte désespéré, toi aussi ?
De : oui, peut-être, mais moi, je n’ai pas couché avec, si tu vois ce que je veux dire.

Addysson lui fit un sourire.

Ad : très drôle.
Mais je voudrais savoir quand cela s’est passé et où ?
De : alors cela s’est passé quand je devais aller chercher la tournée au bar chez joe, pendant l’enterrement de garçon de Burke.
Ad : ah bon ?
De : oui, tu sais quand tu étais occupée à parler avec mark.

Il lui souriait pour se moquer un peu d’elle.

Ad : très drôle, je mettais au point les choses, je n’ai pas envie de perdre des amis, après avoir perdu tous mes petits amis.

Derek fit mine d’être choqué.

De : super, je suis mis au même rang que mark. Eh moi, j’étais ton mari ! (Ahuri)
Ad : je sais, mais cette relation a eu de l’importance sur ma vie.
De : je sais !
Ad : derek, je ne veux pas remettre le couteau dans la plaie, mais je devais le faire, lui parler.

Derek prit à son tour addie, dans ses bras.

De : je sais bien, et cela ne me dérangeait pas, UNE FOIS divorcé, que tu sois avec lui. Il avait l’air vraiment amoureux.
Ad : oui, bah … il n’était pas prêt à s’engager !

Derek eut un rire nerveux, il repensait à ce qu’il avait dit à Meredith à propos de l’engagement.

De : j’ai dit la même chose à Meredith.
Ad : ah bon ?
De : oui, qu’elle ne s’engageait pas pour moi, alors que pour ses amis…
Ad : derek, elle a traversé des épreuves dures, et elle a perdu en très peu de temps, sa mère qui, même imparfaite, était sa mère et sa belle mère avec qui elle avait tissé des liens forts et qui la maternait. De plus, son père l’a giflé.
Tu comprends ?
De : oui, je comprends, mais moi, j’étais là aussi !
Ad : elle avait besoin de ses amis, parce que d’habitude, elle s’appuyait sur ses amis. Elle n’avait jamais eu de petits amis aussi fiables que toi. Elle n’a pas ces automatismes. Alors que dans certaines situations, tu n’utilises que ça.
De : euh, toi, tu as trop traînée avec ma sœur. (En rigolant)
Ad : tu es comique, dis donc !
De : arrête !
Ad : bref, raconte moi ce qui s’est passé après que tu lui aies dit que tu avais rencontrée une autre femme qu’elle.
De : eh bien, elle s’est refermée comme une huître. J’ai voulu lui parler avant la cérémonie, mais c’était impossible, elle ne pensait qu’au mariage de christina. Qu’à christina.
Ad : c’est un peu normal.
Je pense qu’elle ne voulait pas casser le romantisme mis par le mariage. Elle ne pouvait pas croire que toi, tu lui fasses cela. Elle pense au pire. On est formaté pour ça.
De : je lui ai parlé quand même. Un peu de force, vu qu’elle ne me parlait plus, je l’ai su par George, ce qui se passait dans sa vie. Le chef avait plus de place dans sa vie que moi.
Ad : derek, c’est son père de substitution. Il l’a élevée quand sa mère vivait encore à Seattle.
Bon, quand tu lui as parlé, tu lui as dit quoi ?
De : je ne peux pas …
Ad : derek, tu le fais ou je demande à izzie !
De : tu sais que tu es chiante ! (Énervé)
Ad : je te rappelle que c’est pour mon caractère de chieuse que tu m’as épousé et que ce n’est pas pour cela que tu as divorcé.

Elle se la pétait un peu. Elle lui tira aussi la langue. Cela la fit rigoler.

De : est-ce que … Non, rien !
Ad : vas-y !
De : est-ce que tu penses que c’est moi qui t’ai forcé à t’engager ?
A m’aimer ?

Addysson se reculait, et le regarda bizarrement.

Ad : derek, ça ne va pas ?
De : je te demande, c’est tout !
Ad : j’étais éperdument amoureuse, je crois que tu m’aurais dit, on part en inde, je t’aurai suivi sans aucune condition.

Derek souriait.

Ad : non, mais c’est vrai !

Elle souriait à son tour et se disait que c’était beau d’être amoureux.

De : ah oui, j’aurai du en profiter.
Ad : non, tu ne l’aurais pas fait, tu n’étais pas un gars comme ça. Tu es le genre de garçon, type prince charmant qui ne blesse pas volontairement, et avec qui on est sur d’être bien.
De : ah oui ! (Avec un sourire)
Donc je ne suis pas un homme très …
Ad : derek, tu es un petit ami merveilleux, elle n’allait pas bien et dieu sait ce que tu lui as dit.
Allez, dis-moi ce que tu lui as dit.
De : voilà, je suis allée la voir dans le vestiaire où il y avait tout le monde, ils allaient partir et elle leur a dit de partir qu’elle les rejoindrait et comme tout le monde m’avait vu et devait être au courant de l’histoire de la fille du bar, ils m’ont laissé avec elle.
Elle a commencé à parler la première, me disant que je pouvais rompre …

Il s’arrêta quelques instants. Addysson respectait ce silence, elle le connaissait et savait qu’il avait besoin de temps pour parler, pour dire la vérité.

De : elle m’a même donné des exemples. Elle me dit qu’il fallait que je lui avoue si je voulais aller voir ailleurs ou que je ne l’aimais plus, plutôt que lui dire que j’avais rencontré une fille dans un bar. Je lui ai répondu que je ne pouvais pas la quitter, que je ne pouvais pas cesser de l’aimer.

Il regarda addysson, il la faisait peut-être souffrir, il ne pouvait pas la faire souffrir mais en même temps, cela lui faisait du bien d’en parler.

De : je lui ai avoué qu’elle était la femme de ma vie.

Il s’arrêta. Quand il parlait, il regardait par terre ou dedans lui, il ne regardait pas addie dans les yeux. Mais là, il leva la tête et la regarda. Son regard était embué de larmes.

De : oui, tu m’as trompé avec Mark, tu es descendu de ton piédestal. (En rigolant)
C’est bizarre, j’ai toujours aimé passionnément les femmes de ma vie et je n’ai jamais pu les quitter définitivement.
Ad : comment ça ?
De : bah oui, regarde, quand j’ai du choisir, je t’ai choisi toi et pas Meredith !
Ad : oui et … (interrogative)
De : eh bien, je n’arrivais pas à te quitter et là, pareil !
Ad : bon, raconte-moi, la fin de ton dialogue avec meredith.
De : eh bien, je lui ai dit, moi, je t’aime et pourtant, tu ne fais que m’abandonner et ça, tu ne le fais pas avec tes amies. Tu pars quand tu veux, tu reviens quand tu veux.
Je lui ai dit qu’elle ne s’engageait pas, qu’elle ne voyait pas, qu’elle ne comprenait pas que je l’aimais de tout mon cœur.
J’avais l’impression que christina avait plus d’importance dans sa vie que moi. Et je suis sur que c’est vrai. (Sur de lui)
Ad : derek !
Pauvre petit chou, elle t’aimait, mais à sa façon, elle t’a fait venir chez elle, elle ne t’a pas cloîtrais dans une case petit ami, tu vivais avec eux, parce qu’elle voulait que tu sois parmi ceux qu’elle aime, tu as été le seul à savoir tous ses secrets, elle te disait tout.
De : non, ça, c’était avant !
Comme si, depuis un certain temps, elle ne m’aimait plus autant !
Ad : je peux te dire de source sure, qu’elle t’aimait vraiment de tout son cœur, mais elle allait mal pendant un moment, elle revenait dans tes bras.
Elle a été là, quand tu n’allais pas bien pour ton poste de chef, elle t’a soutenu, elle t’a défendu quand mark a utilisé la mémoire de sa mère pour avoir des points.
De : je sais !
Ad : bon, dis moi, la fin de cette déclaration.
De : donc je lui ai dit que si elle ne voyait pas d’avenir pour nous, si elle ne voulait plus de cette relation, qu’elle rompt, elle, parce que moi, n’étant pas masochiste, je ne pouvais pas y mettre fin, je ne pouvais pas la quitter.
Je lui ai dit d’arrêter cette souffrance, cette souffrance que je vivais, la voir et me demander si elle m’aimait encore, vu qu’elle ne s’intéressait plus à moi. Je lui ai mot pour moi, "Put me up my misery". Je ne voulais plus souffrir.
C’est là qu’elle m’a dit qu’elle ne pouvait pas me répondre, qu’elle devait s’occuper de christina.
Ad : c’est bon, j’ai compris !

Derek était surpris mais à la fois heureux d’être compris.

Ad : en fait, elle a pris cela comme excuse, elle était en plein romantisme, elle disait qu’elle était heureuse que christina se marie et ma source m’a dit que christina se mariait, pour faire plaisir à Burke mais aussi pour faire plaisir à Meredith. Pour lui donner un espoir, un espoir que les filles comme elles pouvaient avoir accès au bonheur. Peut-être que c’est pour cela que c’est elle qui l’a dit, ce « Over » a symbolisé pour elle. Si christina ne se marie pas, c’est qu’elle non plus. Tu ne pouvais pas le faire, alors elle a mis fin à des souffrances, comme tu lui avais demandé. Elle n’a fait que respecté des souhaits.
De : tu es sure ?
Et puis qui est ta source ?
Ad : oh, personne, un goujat de première !
De : mark ?
Ad : non, alex !
De : tu es sortie avec ton interne ?
Ad : oui … (en baissant la tête)
Aucun commentaire !
De : tu n’es qu’une copiteuse d’abord !
Ad : oui, et c’est lui aussi qu’il m’a largué alors …

Derek était surpris. Il est tous les deux assis, sur l’estrade.

De : ah bon ?
Il ne voulait pas sortir avec sa titulaire. Désolé, moi aussi, j’ai des sources et comme izzie adore les potins.
Ad : quoi ?
De : oui, izzie disait à Meredith, que si alex ne tentait pas sa chance, c’est parce que tu étais sa titulaire !
Enfin, mais y a longtemps de ça.
Ad : non, en fait, c’est parce qu’il aime ava, enfin Rebecca !
De : qui ? (Surpris)
Ad : l’inconnue qu’il a retrouvée !
De : ah oui … ?
Ad : oui !
De : je comprends maintenant pourquoi il est venu me voir pour savoir comment faire des tests de la mémoire !
Ad : ah …
De : mais tu as couché avec lui quand ?
Ad : euh, …
Eh, on ne parlait pas de moi. Moi, ma vie est un bazar, tout le monde le sait, mais toi, c’est nouveau !
De : réponds à la question !

Derek n’avait plus envie de penser qu’il était seul et que la femme qu’il aimait de tout son cœur venait de le quitter.

Ad : bon, c’est bien parce que tu es triste !
De : merci !

Il lui fit un bisou sur la joue !

Ad : eh bien ?
De : c’est bon !
Ad : c’était après la césarienne d’ava, il a été prévenant avec elle, il avait très bien travaillé. Et je ne sais pas ce qui m’a pris dans le couloir, je me suis un peu jetée sur lui.
De : ah, c’est pour cela que mark tournait comme un lion en cage !
C’est toi qui as brisé le pari !
Ad : il l’a pas fait, n’est-ce pas ?
Coucher avec une autre fille !

Derek la regardait, elle parait si triste à ce moment-là. Il lui fit un sourire de compassion.

De : non, il n’est pas sorti avec une fille pendant tout le temps, il pouvait encore tenir longtemps pour toi.

Il la regardait en essayant de garder son sérieux, mais il était en plein fou rire.

De : il t’aimait, mais tu lui as brisé le cœur en couchant avec alex.

Il repartit dans un fou rire.

Ad : ah oui, et qui te l’a dit ?

D’un seul coup, son sourire s’arrêta de suite, elle comprit qu’elle avait fait une bêtise.

De : c’était Meredith, pendant un câlin. Juste avant de s’endormir, je l’avais fait chier, et elle m’avait raconté que mark lui avait proposé une pause « hot » !
Et elle devait le faire pour se venger de toi, et de moi aussi, parce qu’il savait qu’elle et moi, cela n’allait pas fort. Elle lui a dit d’arrêter de penser à la vengeance par le sexe, de trouver un nouveau moyen.

Il était maintenant tout triste.

Ad : je suis désolée.
De : non, ce n’est pas grave !
Ad : allez, viens, on va faire un tour chez joe, pour te remonter le moral !
De : et si elle y est ? (Avec un peu d’espoir.)
Ad : honnêtement, je ne crois pas qu’elle y est toute seule !
De : tu es sure ?
Ad : j’irai vérifier avant !
De : merci !
Ad : de rien !

Ils se levèrent et se dirigèrent vers la voiture. Addie aidait derek à marcher, non pas qu’il avait des problèmes pour le faire mais pour lui montrer qu’elle était là et qu’elle le soutenait dans cette épreuve.




Voilà, fin du premier chapitre !!!!!
Je vais attendre pour mettre la suite !